LES MUSES DU NET- Le webzine internénettes

Les mots me manquent pour me dire à quel point j'affectionne ma musette.
Quand je l'ai sur moi, elle me comble, quand je ne l'ai pas sur moi, elle me manque, comme le Ricard manquerait à un joueur de pétanque marseillais.
Elle est belle, très bien faite, possède de belles courbes que je ne me lasse pas de contempler. Les plus belles courbes qui soient.
Elle est douce comme la peau d'une loutre d'Europe qui sort de l'eau,
Recouverte elle-même d'un derme lisse et sans accroc, ma musette reçoit mes caresses sans s'en offusquer.
Elle m'accompagne dans mes pérégrinations tel un épagneul fidèle, mais elle a moins de poils,
Elle est aussi affectueuse et généreuse, et se laisse remplir sans que sa forme ne s'altère, toujours prompte à recevoir mes objets les plus intimes.
Pourtant, j'ai cessé d'aller à la chasse à la galinette cendrée, ces gibiers étant devenus si peu farouches qu'il est désormais plus un exploit de ne pas en avoir pendant un certain temps que d'en capturer ... Je ne vais plus à la chasse, alors je caresse ma musette.

Je l'aime ma musette, elle est si belle...